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Une note de sa gorge vous zèbre la colonne vertébrale

et vous fait fermer les yeux de trop d’émotion…

Joël Perriaud, Les Polaris

 

 

Jean-Jacques Lemetre, le maître d’œuvre musical, ne s’est pas trompé en choisissant Selima pour incarner la chanteuse-prêtresse. Un rôle cousu pour elle. Chanteuse d’opéra par formation (classique), cette Irakienne née en Allemagne a donné à son registre une nouvelle dimension : celle de ses racines. Bouleversante ! Tyr, d’où est venue la reine Didon et son peuple pour fonder Carthage, n’est pas si loin d’elle et la musique orientale qu'elle porte en elle, couvrante, chaude, profonde et sensuelle comme le désert, résonnera longtemps dans nos oreilles !

Marie Creeks

 

 

Dans le mistral qui rafraîchit la Cité des papes, une voix bientôt sourd, chaude, lancinante, pour percer l’atmosphère de ses accents digne d’une « Reine de la nuit », celle de Selima Al Khalaf…

Festival d’Avignon

 

 

Selima Al Khalaf, diva Bagdad-Berlin à la voix impressionnante, à la présence scénique très forte et aussi exubérante qu’une Oum Qualsoum qui logerait à Moulinsart…

Philippe Verriele, « Les Saisons de la danse » 

 

 

Selima Al Khalaf, un prodige de présence et de grâce.

Armelle Heliot

 

 

Une voix qui unit en elle l’ange à l’animal, transmute la lumière en sons comme des glaives… Et là, envoûtés, on se laisse bercer en admirant la perfection de ce ciel rempli d’étoiles, attirées sans nul doute … par cette voix qui s’adresse à elle… directement.

Festival d’Avignon

 

 

Bellissima la loro presenza, allo stesso modo di quella, intrigante e ipnotica della cantante irachena Selima Al Khalaf ! Selima e in mezzo alla scena, si insinua tra i danztori con il corpo e con una voce di altissima resistenza, dolce e continua, forte e ritmata.

M. T. Giannoni, « Il Tirreno »

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Selima Al Khalaf, à la voix tout à fait extraordinaire, sombre et veloutée et d’une étendue étonnante, interprète ses propres musiques, lentes et prenantes, d’un post-romantisme teinté d’orientalisme.

Le Monde

 

 

Les quatre musiciens, avec la présence et la voix aux multiples registres de Selima Al Khalaf, parviennent à doter ce spectacle d’une expression et d’une dimension presque magiques !

Le Provençal

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La voix de la chanteuse Selima Al khalaf est profonde et superbe.

Danielle Coste, « Le Progrès » 

 

 

L’émoi est grand, tant sur les gradins de pierre que sur la scène où Selima, déchirante, ouvre le ciel et délivre les dieux : les amulettes sacrées prennent visage ; chacun retrouve ses origines, son identité. Les feux éteints, les vents apaisés, c’est tout un monde réconcilié qui chante, danse, dans l’odeur envoûtante du jasmin et des lauriers. Carthage sera toujours Carthage… La colline de Byrsa résonne inlassablement du vent qui passe entre les mains du maître, que seule vient couvrir la voix généreuse et profonde de Selima Al Khalaf, diva germano-irakienne, en un long chant incantatoire et désespéré, tel celui de Salammbô suppliant Tanit et Baal d’épargner sa ville des douleurs de la guerre.

Marie Creeks, 

Festival Carthage, Tunisie

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Dans ce spectacle de Jean-Francois Duroure, inspiré d’un poème perse du XIIe siècle … une très forte intensité entre la musique et le chant, car la voix de Selima Al Khalaf, mêlée aux rythmes musicaux, dégage d’étranges et belles sonorités !

A. Boucomont

PRESSE

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